WAOW II... ??
Venez nous voir à Paris
au Stand C03
Un rêve devenu réalité ...
Une aventure toujours passionnante
Toute une vie pour l'imaginer, 4 années pour le construire...
Découvrez la naissance du WAOW en vidéo.
Les enfants jouent à "quand je serai grand". Ils rêvent sans a priori et en toute innocence. En 1954, Michel était déjà passionné par les aventures de pirates, puis par celles d’Henri de Monfreid, baroudeur-traficant moderne, sur son boutre en Mer Rouge. Et comme certains adultes qui refusent de grandir, il se devait de réaliser son rêve. Pour lui, un "vrai bateau" ne pouvait être qu’un voilier en bois construit à l’ancienne. Il a attendu jusqu’en 2003 pour dessiner son rêve, en faire les plans et jusqu’en 2008 pour commencer à le réaliser en s’entourant de spécialistes pour combler ses lacunes.
D’abord il a fallu trouver "le" constructeur. Premier échec au Gujarat en Inde, puis 3 ans plus tard à Bira en Indonésie pour finalement rencontrer la légende des constructeurs : Adji, dont les ancêtres construisaient des bateaux il y a déjà 400 ans. Sur ses conseils, Michel s’est inspiré des anciens bateaux de transport indonésiens, les Phinisi, en transformant la forme ovoïde de leur coque en une version plus "carrée", plus stable et plus vaste. Pour le gréement, il a renoncé aux mâts en bois, pas à même de supporter une voilure capable de "tirer" les 850 tonnes du WAOW, en faveur de mâts en acier.
16 mois pour la construction de la coque et des superstructures dans la jungle de Bornéo (image), 6 jours pour le remorquer à Bali pour la finition et 28 mois pour la finition dont Michel n’a laissé à personne d’autre la tâche de décider et de superviser les détails et la décoration.
Le temps, indonésien qui n’est pas celui de l’occident. Un tel chantier est d’une lenteur anachronique. Mais cette lenteur où la réflexion remplace l’informatique est une leçon de patience et un garant de qualité. Mais, Oh miracle ! Le WAOW fut prêt à la date prévue pour sa première croisière le 1 avril 2012. Avoir tenu les délais, est certainement le plus grand exploit de cette aventure. La "coutume" dans ce domaine varie entre 12 et 60 mois de retard. Une sacrée aventure, au 21ème siècle, une aventure d’un autre âge, riche en sueur et en émotions. Résultat, un bateau hors du commun, un bateau de légende. Et du rêve à la légende… la boucle est bouclée.
Quel drôle de nom.... Comme tous ceux qui ont vu les plans, les images de construction, le bateau ou qui sont depuis monté à bord, tous, quelque soit leur langue s’écrient "WAOW !".... Alors, va pour WAOW.
En anglais et à postériori, Julia Deville, la femme de Michel, a donné un sens à ce nom : "Water Adventure Ocean Wide".
Destiné prioritairement à la plongée, Le WAOW propose des croisières de luxe dans toute l’Indonésie. Tout au long de l’année, il permet d’explorer, dans des conditions de confort exceptionnel aussi bien les lieux mythiques que des territoires secrets : les parcs nationaux de Komodo et de Rajat Ampat, les Îles Oubliées dont le nom exprime bien la réalité, la baie du Triton, Misool, Halmahera, Togian, Lembeh, Wakatobi, Manado, la baie de Cenderawasih, Sangihe, Manta Alley. Ils suit les traces des galions sur la route des épices à travers les mers de Banda, de Seram, sur les Îles de la Sonde et les Célèbes.
